Le label LFDS Records a été fondé en 2016 par le Fondeur de Son, dans le but de promouvoir les musiques de ses musiciens, ainsi que d’accueillir d’autres musiques connexes : musiques créatives, improvisées, expérimentales, puisant parfois dans les traditions, et révolutionnaires.

Dans un contexte de précarité au sein d’une industrie du disque hyper-marchandisée, ce label se base sur des valeurs d’indépendance, de soutien, de rencontre et de partage. Il s’inscrit dans l’histoire de labels indépendants de jazz et de musiques improvisées fondés par des musiciens tels que Charles Mingus, Max Roach, Sun Ra, Paul Bley.

 

Les musiques créatives révolutionnaires sont les bienvenues chez le Fondeur de Son, label émanant d’un « organe collectif qui donne de l’oxygène au cœur ».
(T.Giard – Culture Jazz – 2017)

Le pari du label Le Fondeur de Son (LFDS Records) […] consiste à conserver une intégrité artistique tout en ayant l’ambition de toucher un public aussi large que possible. 
(Raphael Benoit – Citizen Jazz – 2018)

 

« Notre objectif, en ajoutant à nos activités celle de label est bien sûr l’autonomie, esthétique, morale et financière.
Avoir un label c’est marquer notre empreinte, affirmer une identité de production en même temps qu’une réponse aux nécessités de l’économie actuelle. Nous avons monté une structure qui puisse permettre à des projets d’aller plus loin. »
Téléchargez l’interview de Pierre Tenne, Yoram Rosilio et Colline Henry, par Michel Arcens (Notes de jazz – 2017)