Groupes

Commons

27/03/2024 by François M

2 instruments à cordes + 1 instrument à vent.
2 instruments acoustiques + 1 instrument amplifié.
2 basses + 1 instrument harmonique…ou 3 instruments harmoniques après tout?

Commons est le premier album du trio formé par le contrebassiste allemand Jonas Gerigk, le guitariste argentin Luis Ianes et le sousaphoniste français François Mellan. Ce projet est né au fil de plusieurs concerts dans le cadre de rencontres européennes d’improvisation. Au-delà de l’instrumentation originale, une unité esthétique s’est rapidement dégagée, une vision commune… et l’envie de réaliser un album.

Dans le trio, les domaines et les responsabilités évoluent constamment. Les sons naissent, circulent, se transforment en développements organiques et se transforment à nouveau selon des règles d’auto-organisation et d’interactions elles-mêmes changeantes.

A propos de Commons

Commons (« biens communs ») désigne toutes les ressources en accès partagé, gérées de manière auto-organisée par une communauté en vue de garantir l’intégrité de ces ressources dans le temps. Est un bien commun, ce qu’on peut utiliser selon ses besoins mais qu’on ne peut pas s’approprier exclusivement.

Les biens communs sont indissociables de la communauté qui en fait usage, et donc indissociables des valeurs et règles collectives grâce auxquelles les individus communiquent et négocient selon des objectifs qui ne se réduisent pas à la somme de leurs intérêts immédiats.

Rien n’est commun en soi, ni musique, ni projet, ni groupe. C’est par l’élaboration de règles et de pratiques collectives que les choses deviennent des biens communs. C’est cette pensée des commons qui a inspiré le trio dans la production de son premier album.

Les titres des 8 morceaux de l’album renvoient à différentes dimensions des commons : naturelles, sociales, culturelles, en tant que ressource ou en tant que principe d’organisation : Groundwaters, Language, Memory, Knowledge, Fablab, Gemeinschaftsweiden, Seeds, Oiseaux de passage, Unpatented Living, Acequias.

Avec :

Jonas GERIGK : Contrebasse // Luis IANES : Guitare // François MELLAN : Sousaphone

Crédits :

Compositions instantanées par Jonas Gerigk, Luis Ianes et François Mellan.

L’album Commons a été enregistré en deux sessions : à Paris (France) en septembre 2023 et à Cologne (Allemagne) en septembre 2024.
Il a été mixé par Fernando Perales à Buenos Aires (Argentine).
Photo et design : François Mellan.
Parution : 1er mai 2024.
LFDS0022.

Presse :

Téléchargez le dossier de presse (version française – pdf – 1200Ko)

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Musiques de Rêves et de Démences

29/03/2023 by François M

Révélations au bourricot céleste confiées par la force de la vision onirique pour montrer ce qui doit advenir. Ces révélations, il les a fait connaître par l’envoi des ondes cosmiques du son, et via les canaux spirituels des créatures étranges de la confrérie de l’Anti RubBer BrAiN fAct0rY.ARBF explore les mystérieuses divagations oniriques et démentielles des fils et filles de la poussière.
ARBF ébranle les matériaux pour imprimer dans le son les phénomènes et mécanismes psychiques de l’inconscient : juxtapositions, superpositions, remplacements, fusions, effacements, enlacements…
ARBF est l’Anti RuBber brAiN fACt0rY.

Avec :

Jean-Michel COUCHET : Sax alto et soprano // Benoit GUENOUN : Sax ténor, Flûte, Accordéon // Florent DUPUIT : Sax ténor, Flûte, Piccolo // Jérôme FOUQUET : Trompette // Nicolas SOUCHAL : Trompette, Bugle // Brenda OHANA : Vibraphone // Wally LOUME : Percussions // Julien CATHERINE : Batterie // Niels MESTRE : Guitare // Jean-Philippe SAULOU : Effets // François MELLAN : Sousaphone, Trombone à pistons // Yoram ROSILIO : Contrebasse, Synthetizer, Gheïta, Percussions, Compositions, Direction // Karsten HOCHAPFEL : Guitare, Violoncelle // Piliv BODZIN : Clarinette basse // Olivia SCEMAMA : Contrebasse // Leïla SOLDEVILLA : Contrebasse.

All compositions by Yoram ROSILIO
except « Le Cri du Jnoun » (Y. ROSILIO & B. GUENOUN)
and « Don’t Blame Me » (J. McHUGH and D.FIELDS – Arrgt Y. ROSILIO)

Recorded on June 9-11th 2021 at Anis Gras – Le lieu de l’Autre – by Ananda CHERER
Mix and mastering by Ananda CHERER
Remix by Y. ROSILIO, including personal recordings from the market of the city of Oaxaca,Mexico, 2016
ArtWork & Cover by Yoram ROSILIO
Produced by Frederic MOTTE & Le Fondeur de Son.

Warm Thanks to:

Mr Frédéric Motte, Catherine Leconte, LFDS, Pierre Tenne, Piliv Bodzin, Olivia Scemama, Leila Soldevila, Karsten Hochapfel, Ilham, Gaelle, François Mellan, Stef Maurin, Elena Waclawiczek, Rosilio Family, Essaouira, Isaïah, Vronush Peperonush, Dylanie and Felix, and all the people who follow and support us for all these years.

Un album de :

Elastic Flame

18/02/2022 by François M

It is the story of a bear, a cat and a butterfly.
The bear breaks, the cat dances, the butterfly turns into a Lilly. The elastic tribe.

The story begins differently. Even before the elastic tribe had invented fire. In New York, in the 1960’s, in that free jazz nightclub where that drumming pianist plays before a bear, a cat and a butterfly. In Pigalles, in the 1950’s, through the image of a fake world full of strange treasures. And before that, throughout those ancient decades that invented music that was to be passed on.
The elastic tribe is born out of the timelines that it blows up in the heart of the multiverse. It entrusted itself with the task of carrying the flame rustled up with a sublime combination of words, stories and inherited sounds. No one invented this elastical blaze, not even the glorious elders of the future who fan it: what about Focal Point?
My elastic tribe holds its freedom in the glow of this flame. One can do many things, but nothing better than a music that is free and tribal. Take note: a tribe is that singularity that rises in an ocean of others.
It is a never ending story. A bear, a cat, a butterfly tell each other a joke in Japanese, then in Arabic, and then in music. They thus constitute an elastic tribe, with five musicians eager to be together and then. As I said. A never ending story.

Pierre Tenne

Au départ en 2011, une envie simple d’essayer quelques nouvelles compositions avec des musiciens rencontrés auparavant. Très vite, apparaît comme une évidence l’idée de réellement construire un répertoire ensemble, l’envie d’une écriture commune, tel un groupe et non un orchestre et son leader.

Le répertoire est constitué des compositions de chacun des membres du groupe et les arrangements et développements sont pensés en commun.
Une écriture travaillée, pensée par et pour le quintet, qui fait la part belle au jeu collectif et met également en valeur les qualités de chaque musicien.

Le nom de la formation Elastic Tribe décrit aussi bien notre ligne artistique (un répertoire né de nos envies, sans barrière stylistique) que la naissance et l’existence de ce projet : La création d’une tribu, une aventure tant humaine que musicale.

Avec :

Jérôme Fouquet (trompette) // Boris Blanchet (saxophone ténor et soprano) // Matthieu Jérôme (piano) // François Fuchs (contrebasse) // Julien Augier (batterie)

Cabrioles cérébrales et accidents psychotiques

15/02/2022 by François M

Au néolithique, il y a maintenant 12 000 ans, les eaux de l’Adriatique ont monté. D’immenses collines ont été englouties, ne laissant émerger que leurs sommets. Les Croates appellent ces îlots Otok, le « gonflement ».

Otok est aussi le nom que se sont donnés quatre musiciens et improvisateurs parisiens. Leur réunion a lieu au carrefour d’imaginaires et de scènes divergentes, sur l’espace restreint d’un quartet qui serait à sa façon un îlot de l’Adriatique, espace restreint et sauvage en superficie, émergence des profondeurs et gonflement préhistorique d’une musique dont on ne sait jamais quels fondements sous-marins la constituent : écrite, improvisée, les deux à la fois ou tour à tour… Librement interprété, déformé, collectivement projeté ou individuellement voulu, le matériel musical et humain qui constitue Otok est d’abord une œuvre commune à laquelle chacun et chacune est convié(e). Leur premier album, Cabrioles cérébrales et accidents psychologiques, sort chez LFDS Records en mars 2022.

Otok, c’est un long cheminement à travers six compositions de Yoram Rosilio qui s’étalent chronologiquement sur presque 15 années d’expérimentations musicales : Toutes datent en effet d’époques différentes : « La Serenade de Nelson », par exemple, date de 2005, « Kromagnon » et « Afraid!!! », respectivement de 2006 et de 2008, « Kabessita » de 2017 tandis que « Elena’s Circle » et « Otok » datent de 2019.

La musique de ce disque n’a pas été trop répétée, travaillée, elle est plutôt faite de longues improvisations thématiques reposant sur certains motifs mélodiques et rythmiques incrustés et extraits des compositions. Elle repose donc essentiellement sur la confiance, les qualités d’écoute et de réaction à ce qui se passe dans l’instant sonore.

D’où une certaine fraicheur remarquable, recherchée et assumée.

Cabrioles Cérébrales et Accidents Psychotiques se veut comme une mise en exploration de nos réflexes mentaux et musicaux : de nombreux événements fortuits viennent troubler le bon déroulé des compositions avec des effets plus ou moins dommageables : des interventions inattendues, non-conformes, des sauts agiles, des acrobaties, des bonds folâtrants, des pirouettes, des répétitions obnubilées, voila ce qu’explore Otok : les bugs cervicaux.

Avec :

Yoram Rosilio (Double bass) // Thomas Zielinski (Guitar) // Hamza Touré (Tenor Sax) // Julien Catherine (Drums)

Free Jazz for the People!

04/01/2022 by François M

Le Healing Orchestra lance un nouveau manifeste engagé, exalté et furieux, parcourant toutes les formes du jazz, parsemé de riffs Mingussiens, de balade à la Sun Ra, d’hymnes universels, de musique populaire, de transe swing et jubilatoire. Une affirmation humaniste qui chante la fraternité et l’émancipation.

« Healing Orchestra, la récupération des forces, leur (re)déploiement dans l’horizon révolutionnaire qui est le seul horizon dans lequel cette musique peut avoir lieu, astronomiquement et politiquement. Engagement farouche et féroce dans la matière sonore, surfaces soyeuses, masses tournoyantes, intensités et densités qui se troublent et s’éclaircissent, tourmentes voluptueuses. Chaosmos. »
Alexandre Pierrepont

Avec :

Paul WACRENIER: direction et composition, piano, vibraphone
Invité Sylvain Kassap : Clarinette et Clarinette basse

Fanny MENEGOZ: flûtes // Sarah Colomb : violon // Xavier BORNENS et Leo JEANNET: trompettes // Arnaud SACASE sax alto // Jon VICUNA: sax baryton // Jean-François PETITJEAN: sax ténor // Victor Aubert/Blaise Chevalier: contrebasse // Mauro BASILIO: violoncelle // Benoist RAFFIN: batterie // Sven CLERX: percussions

Prise de son, mixage, mastering : Ananda Cherer
Illustration : Maïda Chavak

L’album Free Jazz for the People!

Ce double album emmène auditeurs et musiciens des balades les plus méditatives aux masses instrumentales les plus radicales, dans une démarche de continuité stylistique et historique du jazz, des formes traditionnelles jusqu’aux écritures actuelles et d’« avant-garde». Les grandes formes du jazz sont présentes : balade, swing ouvert, uptempo furieux, riffs New Orleans et Mingussiens, hymnes à tonalité populaire, sont traités avec tous les outils de l’improvisation collective et une écriture baignée de techniques contemporaines.

Privilégiant la spontanéité et l’énergie apportée par le public, l’album a été en partie enregistrée en Live, lors d’un concert donnée pour le Festival Sons d’Hiver. « The Fraternity Suite » est issue de cette session. La suite du répertoire a été enregistrée au Petit Faucheux, toujours dans les conditions du Live, mais avec un public très restreint du fait des restrictions en cours à ce moment.

Cet album a été réalisée avec le soutien de Sons D’hiver, du théatre de Cachan, du Petit Faucheux, de l’ADAMI, du FCM et du CG 94.

Le Healing Orchestra

le Healing Orchestra est un grand ensemble de 13 musiciens : cordes, cuivres, multipercussions, Réuni autour des compositions du pianiste et percussionniste Paul Wacrenier.

Prenant racine dans les grandes traditions du Free Jazz et de la Great Black Music, et dans la lignée du workshop de Charles Mingus, du Liberation Music Orchestra ou encore du Black Earth Ensemble de Nicole Mitchell, ce forum musical réussit la symbiose entre écriture fine et improvisation libre, entre free jazz et musiques traditionnelles. Il développe ainsi une musique et une identité singulière dans le paysage du jazz de création en France : inscrit de manière engagée dans le champ des musiques libres et créatives, tout en restant ancré stylistiquement dans l’histoire du jazz comme idiome et culture.

L’orchestre met en œuvre une « manière de faire » précieuse, typique de la culture jazz, qui s’appuie sur l’équilibre entre les dimensions individuelles et collectives de la musique. Les musiciens y trouvent l’espace pour exprimer leur personnalité musicale dans toute leur radicalité. Le son collectif est formé par le respect et la synergie entre toutes ces personnalités singulières, qui débordent et enrichissent le cadre initial de l’écriture. Cette démarche, rare dans le monde des grands ensembles, se concrétise par exemple par l’absence de direction en live. Les musiciens se partagent les prises d’initiatives et les décisions faisant ainsi évoluer les compositions dans des directions parfois imprévisibles. Il s’agit donc d’une véritable démocratie musicale qui exalte et sublime les envies et intuitions de ses participants.

Dans le Healing Orchestra, la musique est nourrie de débordements.

La portée politique de cette démarche est une évidence, et nous espérons qu’au-delà de ces mots, elle est sensible, et mieux encore, sentie et soutenue dans la musique. Car bien au-delà des questions stylistiques et musicales, le free jazz est d’abord un appel à chacun à prendre sa liberté et à mettre en œuvre ses forces créatives.

Dawn Ceremony for Dreadful Days

22/04/2021 by François M

Tikkun c’est un dépouillement hurlant, une vague qui refoule au loin tout ce qui est trop bien implanté, c’est un souffle qui déracine, qui casse le temps, qui propulse… Tikkun projette l’amour comme la colère, dans l’énorme et dans l’intime, dans l’inconnu aussi.

Quatre soufflants aux improvisations tendues, dégringolades de sons, carambolages mélodiques, lignes de basse hypnotiques et fleuves déchaînés aux drums…

Une énergie mystique qui propulse le Free Jazz dans les ondes chaudes et festives du Maghreb, et des poésies liturgiques séfarades.

Avec :

Andrew Crocker (tp) // Jean-Michel Couchet (as, ss) // Florent Dupuit (ts, fl, picc) // Benoit Guenoun (ts – fl) // Yoram Rosilio (b – lead) // Rafaël Koerner (dm)

Ritual for Expansion

12/10/2020 by François M

Ritual for expansion est l’histoire enregistrée de la première rencontre entre trois musiciens.
En 2018, dans la campagne autrichienne d’Heiligenkreuz im Lafnitztal, le flûtiste anglais Neil Metcalf, le batteur italien Marcello Magliocchi et le pianiste français Paul Wacrenier sont invités à improviser ensemble, librement.
L’enregistrement de cette première improvisation est une session d’un seul tenant, enregistrée en public, où les individualités de chaque musicien convergent vers un son collectif d’une densité et d’une tenue rares. Au-delà de l’élan organique d’une improvisation alliant groove, bruitisme ou lyrisme, cette session découvre au fur et à mesure quel est l’objet de sa quête: la dimension rituelle de la musique. Celle-ci apparaît ici riche de ses infinis possibilités, grâce aux rythmiques enivrantes de Paul Wacrenier où s’entendent les influences de Mal Waldron ou des pianistes sud-africains; aux ritournelles fleuries de Neil Metcalfe ou aux sons de métaux magiques de la batterie de Marcello Magliocchi, qui invente des sonorités rappelant les meilleures inspirations de Tony Oxley ou Paul Lovens.

Ritual for expansion is the recorded story of these three musicians’ first meeting.
It happened in the austrian countryside near Heiligenkreuz im Lafnitztal, during the fall of 2018, where English flutist Neil Metcalf, Italian drummer Marcello Magliocchi and French pianist Paul Wacrenier were invited to improvie together, freely.
Here is recorded the full live session, allowing to hear the individuality of every musician coming together as one collective sound, whose density and consistency are seldom witnessed in such music. Beyond the organic momentum of this improvisation merging groove, noises and lyricism, this session unveils along its way the object of its quest : the ritual dimension of music. It appears full of its infinite potentialities, thanks to the exhilarating shuffles displayed by Paul Wacrenier, where you can hear such influences as Mal Waldon or South-African pianists ; to Neit Metclafe’s flowery lyricism or to the magic metals Marcello Magliocchi brings to life with his drums, inventing sounds in the Tony Oxley or Paul Lovens tradition.

Avec :

Marcello Magliocchi (batterie) // Neil Metcalfe (flûtes) // Paul Wacrenier (Piano, Mbira)

Toutes les compositions sont de Magliocchi / Metcalfe / Wacrenier

Les voix et le souffle de Christiana Fusillo et Dana Schachtner, danseuses pendant la session, peuvent être entendus.

Enregistré par Iztok Zupan au Chilly Jazz Congress en septembre 2018 à Heiligenkreuz, Autriche.
Mixage et mastering : Ananda Cherer.
Illustration : Pierre-Yves Baudin. Conception graphique : François Mellan et Paul Wacrenier.

Revue de presse

« Si les noms de Carla Bley, Anthony Braxton, Mal Waldron, Jeremy Steig, Thelonious Monk, Don Pullen, Ran Blake, Cecil Taylor ou Art Ensemble Of Chicago ne vous sont pas étrangers (du moins pas tous), vous devriez trouver matière à vous satisfaire parmi les quelques 39:31 minutes de cette voltige de haut vol. »
Paris Move – Patrick Dallongeville

« Une expérience sonore passionnante qui dynamise l’imaginaire de l’auditeur! »
Paris Move – Dominque Boulay

Tous les articles en pdf :

Ritual For Expansion – Paris Move – double chronique P.Dallongeville + D.Boulay

Ensueños burlescos, peligrosos y misticos de tierras mexicanas

12/05/2019

« Ensueños burlescos, peligrosos y misticos de tierras mexicanas » was recorded in June 2018 at Anis Gras (France) and performs compositions by Yoram Rosilio made during several trips across Mexico between December 2016 and March 2018.

These are 3 recording sessions that gave birth to this disc. 3 consecutive sessions during which the musicians have recorded directly – live and without repetition – the proposed pieces. Between 2 and 5 versions of each piece have been engraved. I later chose those that seemed to me to best match the initial spirit of the composition but also the one where the « magic » and the unexpected were invited.

Avec :

Jérôme FOUQUET (tp) // Nicolas SOUCHAL (tp) // Jean-Michel COUCHET (sax) // Florent DUPUIT (sax, fl, picc) // Benoit GUENOUN (sax, fl) // Benoit CRAUSTE (bar sax) // Morgane CARNET (bar sax, clar) // Christiane BOPP (tb) // François MELLAN (soub) // Niels MESTRE (guit) // Stéphane MAURIN (guit) // Karsten HOCHAPFEL (cel) // Gaelle GUENVER (vln) // Yoram ROSILIO (bs, perc, dir, arr) // Florent ALLIROT (bs) // Eric DAMBRIN (dm) // Ananda CHERER (perc) // Makoto SATO (dm) // Rafael KOERNER (dm)

Produit par : Yoram Rosilio & LFDS Records
Enregistré du 4 au Juin 2018 à Anis Gras – Le lieu de l’Autre – Arcueil par Ananda Cherer
Mixage et mastering : Ananda Cherer
Design & Pochette : Yoram Rosilio
Peinture de couverture : Yoram Rosilio (Peinture sous Opium – San Matteo Del Mar – Janv 2017 [techniques mixtes sur Carton – 60×80 + traitements infographiques).

Revue de presse

« Tout cela passe dans cette musique, par éruptions, marches grotesques, incantations sorcières et harmonie faussement rassurante, comme une fresque merveilleusement transparente, dédiée aux esprits et aux illuminés… »
Télérama – Louis-Julien Nicolaou

« Grooves incertains, bribes mélodiques, riffs concassés, ritournelles, appels, repos, solos et polyphonies débridées, le tout d’une fureur joyeuse aux allures de ferveur populaire… »
Jazz Magazine – Frank Bergerot

« La vingtaine d’exécutants bruisse de percus aussi ludiques qu’endiablées, et les cuivres (prédominants) impriment un tangage évoquant une troupe de mariachis en surdose de mezcal. »
Paris-Move – Patrick Dallongeville

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Un album de :

Repeat Please!

10/12/2018 by François M

Avec ce troisième album, Healing Unit continue de nous offrir sa musique énergique et généreuse, à la joie communicative et aux mélodies puissantes et é/invocatrices.Repeat Please ! emmène le jeu free le plus libérateur et expressif jusqu’aux racines du blues et des fanfares sud-africaines, tout en donnant au passage des échos de Shepp, Dolphy, Cecyl Taylor ou encore de l’Art Ensemble of Chicago.

«Repeat please» , une autre, encore ! Jusqu’à plus soif, et encore … C’est cet irrépressible élan pour encore plus de plaisir, pour s’ouvrir aux autres.
Pour un bonheur musical qui ne s’embarrasse pas des styles successifs qu’a trouvé le jazz afin de faire jaillir cette jouissance de l’instant.« les développements auraient ravi Dolphy, Coltrane, Ayler et d’autres. Et cela d’une manière radicalement neuve, authentique et festive. Quand l’amour ne se fait pas servile. »
Guy Sitruk Jazz à Paris

With this third album, Healing Unit continues to offer us its energetic and generous music made of communicative joy and powerful and invocative melodies.
Repeat Please! takes the most liberating and expressive free expression to the roots of blues and South African fanfares, while giving echoes of Shepp, Dolphy, Cecyl Taylor and the Art Ensemble of Chicago.

« The unit has established its own distinct sound – urgent, vibrant and powerful, always rooted in in the rich legacy of jazz and with evocative melodies and driving rhythms. »« You can simply enjoy the many, colorful veins of modern and free jazz schools intertwined and converge in Wacrenier’s suite (…) Or just marvel at the Unit engaging interplay and elegant delivery of the Healing as it sends its own powerful messages about hopes, dreams and mysteries and music as the healing force of the universe. »
Salt peanuts – Eyal Hareuveni

Avec :

Xavier Bornens: trompette // Arnaud Sacase: Saxophone Alto // Paul Wacrenier: Piano, Vibes // Marco Quaresimin: Double Bass // Benoist Raffin: Drums

Toutes les compositions de la suite “Repeat Please!” (#1-#8) sont de Paul Wacrenier. “La chanson d’albert” est une composition d’Arnaud Sacase.
Enregistré en live en mars 2018 au studio Juillaguet.
Prise de son, mixage et mastering : Ananda Cherer ; Illustration de couverture : Sven Meinild ; Graphisme : Iris de Vericourt.

Tracks #1-#8 (The Repeat Please! Suite) are compositions by Paul Wacrenier, except track # 9 by Arnaud Sacase.
Recorded live in march 2018 at Studio Juillaguet.
Recording, mixing and mastering: Ananda Cherer ; Cover Artwork: Sven Meinild ; Graphic Design: Iris de Vericourt.

Revue de presse

« Un hymne au blues, au free jazz et à la joie ! »
Quest TV – K Le Gendre

« Pas besoin de leur faire répéter : cette musique ce reçoit et se comprend dès la première écoute. C’est efficace, simple, direct, plein d’énergie et d’envie de jouer. L’ombre de Mingus croise celle d’Albert Ayler mais le Healing Unit a son identité affirmée. Chapeau ! »
Zarbalib

« On sent dans cette proposition musicale un immense respect pour cette musique et la capacité de lui donner un nouveau souffle bien loin d’un son à la française. Le son est brulant et les interventions de chaque instrumentiste pleinement investie. »
Jazzitude, Radio G

« L’assurance de ne rien manquer de l’enthousiasme. »
Open Jazz, Alex Dutilh

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Un album de :

Reynas Del Mediterraneo – Vol. 1 – Grèce

04/09/2018 by François M

L’ARBF de Yoram Rosilio et la chanteuse traditionnelle grecque Xanthoula Dakovanou se rencontrent pour faire dialoguer le Free jazz et le Rebetiko

« Je dois mon corps à la terre noire, mon âme au messager des morts, et à mon amour je dois ma vie présente… »
Roza Eskenazi- Chanteuse de Rebetiko (1890-1980)

En 1919, La guerre éclate entre la Grèce et la Turquie. En 1922, une conférence internationale y met fin. Il y est décidé de régler définitivement le conflit par un échange de populations entre les deux pays.
Le critère de nationalité retenu est la religion : Si l’on est orthodoxe, on est forcément grec et inversement pour les musulmans qui sont déclarés turcs.
Les réfugiés grecs, y compris parmi eux des arméniens et des juifs, dépassent le million. Pour la plupart, ils vivent en Turquie depuis des générations, parlent turc et ne se distinguent qu’en peu de choses du reste de la population. Ce sont donc des hordes de réfugiés démunis qui arrivent en Grèce, faisant croître la population du pays de plus de 25%.
Le Rebetiko est la musique des ports et des bas-fonds où se retrouvent les exclus, les « mangkès », les exilés…

Avec :

Yoram Rosilio (Bass, Direction, Arrangements) // Xanthoula Dakovanou (Vocals) // Maki Nakan (Alto sax, percussions) // Florent Dupuit (Tenor Sax, Flute, Piccolo, percussions) // Benoit Guenoun (Tenor Sax, Soprano Sax, flute, percussions) // Paul Wacrenier (Electric Piano, Vibes) // Stef Maurin (Guitar) // Eric Dambrin (Drums)

Revue de presse

« L’envoûtement s’installe peu à peu et bientôt la musique devient celle d’un lieu du bout du monde, on est plongé dans la nostalgie de rien »
Culture Jazz – Philippe Paschel

« S’il ne s’agit pas à proprement parler d’un disque de musique traditionnelle tant il y a une tension sur les formes, jamais le rebetiko n’est rudoyé. Il est léger, libre, volatile comme un alcool à l’image du traditionnel « Rampi Rampi » qui démarre dans son plus simple appareil pour gonfler en un exutoire collectif. »
Franpi Sunship – Franpi Barriaux

« Ce collectif en mouvement perpétuel redistribue les cartes pour chaque album, et de cette fraîcheur naît une musique révolutionnaire et puissante, tant sur le fond que sur la forme. »
Citizen Jazz – Raphaël Benoit

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Un album de l’Anti RubBer brAiN fAct0rY & Xanthoula Dakovanou

Solution n°5

28/08/2018 by François M

Le trio Pavillon Rouge est né en 2013. Il réunit un des trompettistes créatifs de la scène des musiques improvisées, Nicolas Souchal, un grand Monsieur de la famille des cuivres, Matthias Mahler, et d’un des rares joueurs de synthétiseur analogique de la scène hexagonale, Jean-Marc Foussat.
« Ces improvisateurs évoluent sur un territoire peuplé d’éclats cuivrés et de de nuées orageuses, de transistors mutins et de boucles psychédéliques. L’expressivité pneumatique des deux pavillons, Mahler et Souchal, fusionne fertilement avec la poésie électro-acoustique de Foussat. »

Pavillon Rouge trio was born in 2013. It gathers a creative trumpet from improvised music scene (Nicolas Souchal) , a great practitioner of the Horns family (Matthias Mahler), and one of the few musicians playing an analogic synthetiser in France (Jean-Marc Foussat).
Listening to their music, one is as well dazzled by the two horns language, incorporating the mostinnovative technics for their instruments, as by the riches of the effects Jean-Marc Foussat displays enlivened with some poetic samples. The musical pieces’ development produces a tense and elaborate music, led by a constant urge toward aventure.
« These improvisers move on a territory full of copper sparkles and stormy clouds, of mischievous transistors and psychedelic loops. The pneumatic expressivity of the two horns – Mahler and Souchal – merges with Foussat’s electroacoustic poetry.»

Avec :

Nicolas Souchal (trompette, bugle) // Matthias Mahler (trombone) // Jean-Marc Foussat (dispositif électro-acoustique)

Enregistré, mixé et masterisé au Home studio de Jean-Marc Foussat

Revue de presse

« Mais qui sont ces flibustiers qui hissent Pavillon Rouge ? Ils sont trois et naviguent sur les étendues à défricher qui tanguent entre la Liberté ou l’Amour, comme s’il y avait à choisir. Comme s’il ne suffisait pas de trouver une route médiane dans ce désert luxuriant d’oxymores. Nicolas Souchal, Matthias Mahler et Jean-Marc Foussat nous ouvrent cette voie en éclaireurs et livrent, « toute nue, sorcière saugrenue tombée des nues » *, une Solution n°5 cousue main quoique délibérément sans patron. Ça tangue, ça roule, ça s’enfonce dans les entrailles du son pour mieux en ressortir par la chaleur du souffle. Si ce pavillon est rouge, c’est qu’il est chauffé à blanc! Desnos n’est jamais loin. »
Franpi Barriaux

« Les murmures anticipent l’affirmation de propos résolus, évoluent au travers de phonèmes inarticulés vers l’organisation de phrases insensées, pétries d’intelligence. »
Revue & Corrigée – Joël Pagier

« Dès les premiers balbutiements de « Vie Libre », la puissance onirique opère, et dans un glissement progressif, enveloppe l’être tout entier et conduit à une immersion totale. »
Citizen Jazz – Raphaël Benoît

« With trumpeter Nicolas Souchal’s sometimes eloquent and sometimes expeditious flights, plus alternately growling and blasting tones from Matthias Mahler’s trombone, the acoustic improvising program is satisfied, while the wide range of Jean-Marc Foussat’s electronics that include sampling, signal processing and granular synthesis takes care of the computerized input.»
Jazzword – Ken Waxman

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Un album de :

Marokaït

31/10/2017 by François M

Mar0kAït a été enregistré en septembre 2016 et met en œuvre, comme une suite logique à tous les précédents travaux de l’Anti RuBber bRaIn FacTOrY, un nouveau volet de recherche artistique entre Jazz et Musiques traditionnelles marocaines de transe. Les pièces jouées sont des adaptations d’ouvrages sonores populaires collectés au Maroc : Les mélodies, les rythmes et les structures restent quasiment identiques aux versions originales mais le tout est passé au filtre de la texture sonore, des inflexions, des intonations, de l’esthétique et des savoir-faire occidentaux du Jazz et des musiques improvisées.

Throughout the centuries each region, each town and sometimes even each village in Morocco have developed their own particular individual musical identities. Inspired by everyday life they give expression to major events of society recording and marking the identity of tribes and regions. They constitute an absolute traditional treasure, telling the tales of the different customs of people but also giving voice to their rebellious spirits and their magical and mystical visions of the world.

Our inspiration comes from this wide multicolored repertoire and we have endeavored to respect, to the best of our ability, the shapes, structures, rhythms and intentions that we can feel in this music and to reproduce them with what makes us musical beings.

Avec :

Yoram Rosilio (Bass, flute, percussions, arrangements, direction) // Nicolas Souchal (Trumpet, flute, percussions) // Jérôme Fouquet (Trumpet, flute, percussions) // Jean-Brice Godet (Clarinets, flute, percussions) // Jean-Michel Couchet (Soprano Sax, Alto Sax, flute, percussions) // Florent Dupuit (Tenor Sax, Bass Flute, Flute, Piccolo, percussions) // Benoit Guenoun (Tenor Sax, Soprano Sax, flute, percussions) // Paul Wacrenier (Piano, Vibes, Balafon, Flûte, percussions) // Rafael Koerner (Drums) // Eric Dambrin (Drums, percussions) // François Mellan (Soubasophone, flute, percussions – on 03 and 06)

Revue de presse

« Et, oui, il y a ici du déséquilibre qui se respecte, qui se retient : jamais personne ne chute et le danger est ce qu’il y a de plus sidérant, de plus beau. »
Notes de Jazz – Michel Arcens

« 75 minutes de plaisir auditif au cours desquelles, tout en respectant mélodies, rythmes et structures d’origine, ils relisent les titres à travers le filtre de ce qui constitue leurs spécificités devenues désormais naturelles. Envoûtant et hypnotisant! »
Paris Move – Dominique Boulay

« L’ensemble est superbe, bien balancé. Une fois encore, la structure du morceau laisse à penser qu’il pourrait s’éterniser, n’avoir jamais de fin et tradition oblige, l’éternité se situe précisément à cet instant même. »
Culture Jazz –Théo Girard

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Un album de :

Serious stuff & lots of lightness

27/03/2017 by François M

Réunissant 19 musiciens français et marocains, l’ARBF revisite les traditions marocaines et celles du Free Jazz… Grosse fête!

« Serious Stuff & Lots of lightness » a été enregistré en live à l’Institut du Monde Arabe à la fin 2014 pour la saison du Maroc contemporain et donne un nouvel éclairage sur les recherches artistiques du groupe : ARBF & HmAdchA, c’est alors six années de collaboration et autant de résidences et de concerts au Maroc et en France.
L’Anti RubbEr BrAiN Fact0rY, orchestre expérimental et atypique, est formé de musiciens d’horizons artistiques différents (jazz, musiques électroniques, improvisation, rock, musiques traditionnelles…). Aux côtés de leurs camarades d’expérimentation d’Essaouira, ils poursuivent leurs explorations sonores extatiques et libératrices.
La musique d’ARBF est à la fois drôle et enragée, elle clame haut et fort sa vocation à être une musique de l’instant et va à l’encontre des attentes de l’Art Institutionnalisé, qui, de plus en plus, exige de toute production culturelle une esthétique du « propre », du « beau », du plastifié…
Dans cet orchestre, ce ne sont pas seulement les cultures et les générations qui dialoguent mais aussi l’art de la fête, l’exigence de l’expression imparfaitement juste et l’énergie libre et généreuse.

Avec :

Yoram Rosilio (contrebasse, pianet, flûte, t’bal, lead, arrangements) // Abdelkader “Ben Brik” Ed-Dibi (gheïta, karkabou, taarija) // Abdelmalek Benhamou (gheita, ganga, karkabou, herrez) // Jean-Michel Couchet (sax alto, soprano) // Florent Dupuit (sax tenor, flute, piccolo) // Benoit Guenoun (sax tenor, flutes) // Maki Nakano (sax alto, ney) // Jean-Brice Godet (clarinettes) // Jérôme Fouquet (trompette) // Nicolas Souchal (trompette) // François Mellan (tuba) // Jean-Philippe « Jessico » Saulou (effets) // Simo Akharraz (chant lead, karkabou) // Najem Belkedim (t’bal, karkabou, tara, chœur) // Hassan Nadhamou (taarija, chœur) // Rachid El Ayoubi (ganga, karkabou, derbouka, chœur) // Abderrahmane Nemini (t’bal, karkabou, chœur) // Salah Saya (tamtama, ganga, tara, chœur)

Revue de presse

« Avec ce projet, le contrebassiste marque une étape décisive : rarement polyphonie/polyryhtmie auront pu s’unir si charnellement (…) Sérieuse, documentée mais surtout intensément vécue, cette rencontre brûlante méritait bien un disque. »
Jazz News – Bruno Guermonprez

« …Une world music pas franchement soporifique, et un fervent plaidoyer pour l’éveil des tympans et des consciences : faites le test ! »
Paris Move – Patrick Dallongeville

« C’est dansant en diable. Ça jaillit de partout. On n’est pas loin de la transe, ici festive, joyeuse, fraternelle. J’imagine le public de l’Institut du Monde Arabe peinant à ne pas se dandiner, à ne pas se lever, les yeux humides de plaisir. »
Jazz à Paris – Guy Sitruk

« Ce concert est ce qui manquait à l’ARBF pour marquer un peu plus les esprits. L’énergie qui inonde l’album parvient simultanément à briser de nombreux codes et à s’inscrire dans une certaine tradition, du moins à s’en réclamer et à l’honorer. Une tradition d’une vigueur exaltante, pas uniquement soufi, mais aussi héritée du free de Shepp ou de Don Cherry. »
Citizen Jazz – Franpi Barriaux

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Un album de l’Anti RubBer brAiN fAct0rY & HmAdchA :

Apparent Disorder

03/03/2017 by François M

Apparent Disorder est le premier disque du Alice’s Mirror Quartet, le quartet de Florent Dupuit (Ping Machine, ARBF, Tikkun, Pedro Kouyaté….) dans lequel il révèle avec talent ses qualités de compositeur, d’arrangeur d’improvisateur et de leader.

L’album est ancré dans une esthétique indubitablement jazz, portée par des musiciens plus que familiers de cette tradition : Zad Dupuit au piano, Yoram Rosilio à la contrebasse et Philippe Istria à la batterie. Florent Dupuit intègre dans ses six compositions personnelles toutes les influences dont il se nourrit, dialoguant avec la musique contemporaine (Olivier Messiaen, Satie, etc.) et les jazz ouverts aux quatre vents.

En cherchant à jouer « la musique de Wayne Shorter avec le quartet de Monk », Alice’s Mirror fait entendre une voix encore méconnue du grand public, mais forgée par la vingtaine d’années de carrière de son leader. En pleine maturité, Florent Dupuit décide de franchir le pas avec ce premier projet exigeant et riche d’un parcours singulier et pluriel.

Avec

Florent Dupuit (ts – fl) // Zad Dupuit (p) // Yoram Rosilio (cb) // Philippe Istria (dm)

Revue de presse

« Sept morceaux très construits, joués par d’excellents musiciens parfaitement en symbiose. Le groupe a un son, des tonalités de saxo un peu lourdes, très expressives, un allant rythmique continuel, des envolées de piano intéressantes, une contrebasse inventive et puissante »
Bernard Cassat

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The 24 doors

18/05/2015 by François M

Réuni autour du contrebassiste Yoram Rosilio, le sextet Tikkun propose une musique où se mêlent et se confondent Free Jazz, New-Orleans, Groove, musique maghrébine et hassidique. L’écriture est originellement inspirée des traditions liturgiques judeo-maghrébines. Elle est aujourd’hui passée par le filtre d’une culture parisienne du free Jazz pleinement revendiquée.

Avec :

Andrew Crocker (tp) Jean-Michel Couchet (as, ss) // Florent Dupuit (ts, fl, picc)// Benoit Guenoun (ts – fl)// Yoram Rosilio (b – lead)// Rafaël Koerner (dm)

Revue de presse

« Une musique d’une belle humanité, à faire tourner sur nos scènes, sans tarder… »
Jazz Magazine – Franck Bergerot

« Deux suites qui élaborent dans la patience de la musique un cheminement musical d’une profondeur insensée qui, pas à pas, établit des liens presque biologiques entre ces cultures et ces traditions…
Il en est, des musiques, qui méritent plus d’auditeurs car elles touchent au cœur de ce qui établit l’indéniable musicalité de nos âmes… »
Djam-La revue – Pierre Tenne

« Un grand disque qui, réunissant musique écrite et tradition orale, réconcilie les cultures, apporte un nouveau souffle au jazz, à la musique et, on en est sûr, contribuera quelque peu à la nécessaire réparation du Monde. »
Source – Jérôme Latil

« Un très grand disque, bien évidement. Achetez-le. Offrez-le. Mettez-le sur vos machins électroniques mobiles et évadez-vous. »
Jazz à Paris – Guy Sitruk

« C’est chaleureux, entier, gourmand… Et c’est vraiment l’univers de Rosilio dans ce qu’il a de plus brillant… »
Franpisunship – Franpi Barriaux

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Un album de :

Live 2013 & Dhöl Le Guedra

03/11/2013 by François M

« Live 2013 & Dhöl Le Guedra » est le fruit de la 5^ème réunion de l’Anti Rubber Brain Factory et de la confrérie soufie des H’madchas, à Paris. Dans cet album moitié live / moitié studio, l’ARBF joue le répertoire des H’madchas, augmenté de quelques compositions inspirées de différentes musiques traditionnelles marocaines.

Pas moins de 20 musiciens marocains et français sont réunis sur cet album !

Avec :

Yoram Rosilio (bass, perc, gheïta, lead) // Abdelkader « Ben Brik » Ed-Dibi (gheïta, perc) // Ayoub Baz (gheïta, perc) // Florent Dupuit (piccolo, fl, ts) // Nicolas Souchal (tp) // Jérôme Fouquet (tp) // Jean-Michel Couchet (as, ss) // Maki Nakano (as) // Benoit Guenoun (ts, gheïta) // Jean-Brice Godet (bcl) // François Mellan (tuba) // Yann Pittard (guit, oud) // Jean-Philippe Saulou (dispositif électronique) // Abderrahmane Nemini (voc, perc) // Salah Saya (voc, perc) // Hassan Nadhamou (voc, perc) // Nejim Belkedim (voc, perc) // Moulay Idriss El Idrissi (voc, perc) // Thomas Ballarini (perc) // Eric Dambrin (perc).

Revue de presse

« Ce disque est un bon exemple dans la lignée de bien des formations des années 70 et 80, de Randy Weston, à Abdullah Ibrahim en passant par le nordique New Jungle Orchestra »
Culture Jazz – Thierry Giard

« Allons à l’essentiel : ce CD est un pur bonheur. «
Jazz a Paris – Guy Sitruk

« Cet album est un bijou, un bonheur, une pure bombe. Parce qu’on ne le fait pas assez écouter – le courage de la musique autoproduite ! Pour tant de raisons qu’on ne peut les dire toutes, si ce n’est la plus impérieuse : ouvrir avec cet orchestre libertaire les horizons sans frontière des musiques qui, universelles, nous animent. »
DJAM – Pierre Tenne

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Un album de l’Anti RubBer brAiN fAct0rY & H’madchas

El Hâl

11/10/2012 by François M

« El Hâl » (littéralement la transe) ou l’extase est un travail autours de la musique traditionnelle marocaine et du Free Jazz à travers une collaboration avec le peintre Marocain Redouane Bernaz.
Réunissant une quinzaine de musiciens, « El Hâl » se déploie autours d’une longue composition musicale mêlant musique improvisée, écriture contemporaine, musique Gnaoua, Arabo-Andalouse, Berbère, Hmadcha et, comme son nom l’indique, vise à atteindre des états modifiés de consciences par des procédés musicaux.

Depuis sa genèse, le Jazz -et donc le Free Jazz- se façonne, puise son inspiration aux sources de la tradition Africaine. Le Maroc est ce territoire par lequel transitaient les esclaves africains en partance pour le Nouveau Monde. C’est donc un retour vers les racines de ces musiques improvisées que nous effectuons à travers « El Hâl ».

Avec

Yoram Rosilio // Thomas Ballarini // Marielle Chatain // Ananda Cherrer // Jean-Michel Couchet // Eric Dambrin, Florent Dupuit // Jérôme Fouquet // Jean-Brice Godet // Benoit Guenoun // Karsten Hopchatel // François Mellan // Maki Nakano // Yann Pittard // Jean-Phillipe Saulou // Redouan Bernaz.

Revue de presse

« la richesse très réfléchie du propos de Yoram Rosilio et l’ARBf est toujours mise au service d’une musique généreuse, belle, puissante ; rare en un mot. »
DJAM – Pierre Tenne

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El Hâl – DJAM la Revue – Pierre Tenne – 2015

Un album de :

Ask the dust

15/07/2008 by François M

En juillet 2008, les musiciens de l’ARBF se réunissent pour une expérience d’enregistrement telles qu’elles ne se pratiquent plus de nos jours. Les partitions sont données juste avant la session et trois prises de chaque morceau sont réalisées.

Il en ressort une musique neuve, spontanée et sans complexe.

Avec :

Yoram Rosilio // Benjamin Abitan // Nicolas Arnould // Stephan Caracci // Marielle Chatain // Jean-Michel Couchet // Eric Dambrin // Florent Dupuit // Elisabeth Gilly // Benoit Guenoun // Rafael Koerner // Naissam Jalal // Julien Matrot // Fred Maurin // Amina Mezaache // Maki Nakano // Brenda Ohana // Yann Pittard // Makoto Sato // Jean Philippe Saulou // Or Solomon // Hugues Vincent

Revue de presse

« Véritable écho de la rue, ce sentiment d’émancipation salvatrice traverse l’ensemble du disque grâce à une musique fougueuse et rompue au combat. »
Citizen Jazz

« Furieusement joueur et assez potache parfois, donc plutôt sympathique, non? »
Culture jazz

« une musique qui ressemble à notre monde à la fois mondialisé et tout en entrechocs de cultures, d’imaginaires. »
Jazz a Paris

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